Cette phase sera composée d'un hacker Nâga (le seul bonhomme du programme), une fonctionnaire Deva (celle qui a son fusil sur son épaule) et enfin une Asura qui sera le lieutenant de mon armée.
J'ai déjà tout mis sur des bouchons et j'ai tout assemblé, sauf l'Asura dont le bras et la coupe de cheveux seront plus faciles à faire en les laissant à part. J'ai du utiliser un peu de green stuff sur la deva car il y avait un problème de jonction qu'il a fallu combler entre sa jambe et sa jupe.
J'ai passé mon primaire sur l'ensemble des figurines puis j'ai entamé la peinture de la Deva.
J'avais décidé de faire un maximum de choses à l'aérographe, mais en l’occurrence, pour le fusil, ça n'a pas été de la tarte. La figurine est moulée avec le fusil placé sur l'épaule et il n'est pas détachable pour être fait à part.
J'ai un peu lutté avec la patafix pour être certain que j'allais pouvoir peindre le fusil, mais sans peindre le reste. J'aurais pu faire le fusil sans masquer et puis faire des retouches sur les inévitables dépassements, mais le fusil est de couleur sombre et j'avais peur que ce soit difficile à reprendre avec les tons clairs que j'ai prévu d'utiliser pour sa peau.
J'ai donc fait deux séries de dégradés à l'aéro. Tout d'abord du noir vers le gris très clair sur l'arme et le textile, en changeant les doses de gris pour donner un peu de variété à l'ensemble.
J'ai volontairement forcé les contrastes car je me suis rendu qu'en la matière, j'ai jamais été déçu par un dégradé trop large, tant que les dégradés sont propres. Sur son bustier, on voit bien qu'un coup de blanc, même appuyé, permet de bien dessiner la silhouette sans que les couleurs aient l'air de trop jurer.
Pour la peau, en regardant bien, je me suis rendu compte qu'elle a l'air d'avoir une peau de cyborg avec des rainures à intervalles réguliers, un peu comme si elle était en plastique.
Du coup, pour essayer de lui donner un air synthétique, je suis parti avec une base beaucoup plus claire que d'habitude et à l'inverse du noir, je vais y aller mollo sur les contrastes : j'ai fait les bras et les jambes en couleur sable assombrie en terre d'ombre brulée et éclaircie en blanc. .
Pour le visage, je sais pas trop su comment procéder pour donner un bon effet. Si je fais tout en couleur crème, j'ai peur d'avoir un résultat assez plat, si je creuse les ombres, j'ai peur de faire un résultat trop vivant. Il faut aussi que le visage soit dans les mêmes tons que le reste du corps sinon ça va choquer.
J'ai donc fait deux séries de dégradés à l'aéro. Tout d'abord du noir vers le gris très clair sur l'arme et le textile, en changeant les doses de gris pour donner un peu de variété à l'ensemble.
J'ai volontairement forcé les contrastes car je me suis rendu qu'en la matière, j'ai jamais été déçu par un dégradé trop large, tant que les dégradés sont propres. Sur son bustier, on voit bien qu'un coup de blanc, même appuyé, permet de bien dessiner la silhouette sans que les couleurs aient l'air de trop jurer.
Pour la peau, en regardant bien, je me suis rendu compte qu'elle a l'air d'avoir une peau de cyborg avec des rainures à intervalles réguliers, un peu comme si elle était en plastique.
Du coup, pour essayer de lui donner un air synthétique, je suis parti avec une base beaucoup plus claire que d'habitude et à l'inverse du noir, je vais y aller mollo sur les contrastes : j'ai fait les bras et les jambes en couleur sable assombrie en terre d'ombre brulée et éclaircie en blanc. .
Pour le visage, je sais pas trop su comment procéder pour donner un bon effet. Si je fais tout en couleur crème, j'ai peur d'avoir un résultat assez plat, si je creuse les ombres, j'ai peur de faire un résultat trop vivant. Il faut aussi que le visage soit dans les mêmes tons que le reste du corps sinon ça va choquer.
Pour le moment, je lui trouve un teint un peu trop rosé, mais je corrige à petites touches par peur de tout abîmer.
Pour les cheveux, comme on a affaire à une cyborg, ça serait dommage de se limiter à des couleurs naturelles. Je vais donc partir sur du vert avec l'accord de mon épouse qui m'a dit "t'as qu'à lui faire les cheveux de Lamu, c'est un vert très raisonnable".
Je me demandais ce qu'elle entendait pas raisonnable : il a fallu que je fasse une recherche pour bien me souvenir de la couleur en question et... voyez vous-même.
On a acheté un flacon d’émeraude Prince August et je me demandais justement à quoi il allait bien pouvoir me servir. Et ben voilà !
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